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Les femmes qui cherchent à rejoindre les clubs sont plus susceptibles d'avoir une image corporelle négative que les femmes non sororité, selon les enquêtes.
Les femmes de premier cycle qui rejoignent les clubs sont plus susceptibles de juger leur propre corps du point de vue d'un étranger. Ils ont tendance à afficher des niveaux plus élevés d'attitudes et de comportements émaciés que l'autre catégorie. Au fil du temps, ces femmes peuvent également montrer des niveaux plus élevés de honte corporelle.
Les sororités sont puissantes pour influencer les normes et les idéaux de leurs membres. Les femmes qui rejoignent les clubs sont susceptibles d'avoir des troubles de l'image corporelle et des troubles alimentaires plus tard.
Ces fraternités offrent aux étudiantes des opportunités de croissance personnelle et d'enrichissement. Mais les affiliations ont été critiquées pour leur potentiel à amener les membres à se concentrer de manière excessive et malsaine sur leur apparence.
Cette découverte a été publiée en ligne dans la revue Sex Roles de Springer.